1854 : le choléra fait 17 morts sur 300 habitants ; 140 malades dont certains sont soignés à la strychnine.
1867 : un orage d’une violence extrême se déchaîne sur le village le jour des communions solennelles. Le clocher tombe sur les communiants : 13 morts.
1902 : la commune met en vente des arbres abattus par une tempête.
1999 : l’ouragan « lothar et martin » fait des dégâts en forêt communale et sur les bâtiments du village.
1867 : un orage d’une violence extrême se déchaîne sur le village le jour des communions solennelles. Le clocher tombe sur les communiants : 13 morts.
1902 : la commune met en vente des arbres abattus par une tempête.
1999 : l’ouragan « lothar et martin » fait des dégâts en forêt communale et sur les bâtiments du village.
Les guerres
1945 : durant l’occupation, en octobre 1943, le maire du village, Monsieur Finet, fut emprisonné à Dijon pour aide et assistance aux résistants.
Au point culminant de la commune, une tour en bois servant au service géographique de l’armée dut détruite par la résistance.
Au point culminant de la commune, une tour en bois servant au service géographique de l’armée dut détruite par la résistance.
Economie et artisanat
Le début du XIX° siècle fut une période faste. Il y avait un lavoir à minerai qui cessa en 1830. Il y avait de nombreux artisans et services : charron, tailleur de pierre, couvreur de laves, menuisier, charpentier, maçon, plâtrier, maréchal ferrant, tisserand, sabotier, cordonnier, vannier, aubergiste, servant, épicier, buraliste, lingère, couturier, batteur ambulant…
En 1999, il ne reste plus qu’un plombier chauffagiste et un café restaurant ; tout autre artisan ou service ont disparu.
En 1999, il ne reste plus qu’un plombier chauffagiste et un café restaurant ; tout autre artisan ou service ont disparu.
L’église
Le prieuré de Louesme, sous le vocable de l’assomption comme église de l’ordre de Saint Benoît, fut fondée dans l’église en 1076. En 1830, reconstruction de l’église qui a été redémolie et reconstruite en 1864 avec une flèche de 33 mètres de haut. Elle fut à nouveau détruite par un ouragan en 1867 qui fit 13 victimes. Elle fut rebâtie en 1872 avec un clocher de 20 mètres.
Au XIX° siècle, plusieurs cloches furent achetées et refondues. Une cloche a été refondue en 1999. Le cimetière attenant à l’église fut transféré route de La Chaume en 1867.
Au XIX° siècle, plusieurs cloches furent achetées et refondues. Une cloche a été refondue en 1999. Le cimetière attenant à l’église fut transféré route de La Chaume en 1867.
Agriculture et industrie
Jusqu’en 1830, la population était occupée à l’extraction du minerai de fer. Après l’arrêt de cette activité, l’agriculture prit son essor ; on y cultivait le blé, l’orge, l’avoine, la navette, les pommes de terre, les betteraves, les légumes secs, des carottes, du houblon.
La moisson était soumise au ban des moissons. On allait cueillir au bois, les liens pour les gerbes, et cela à jours et heures fixes. Les rendements étaient très faibles : 15 à 18 HL par hectare pour le blé. Deux agriculteurs ont reçu la médaille d’argent pour leur semence de graine de betteraves, la semence de blé de Louesme était très réputée aussi à l’époque.
Le bétail était gardé par les pâtres communaux. La commune achetait le taureau. Au début du XIX° siècle, on comptait jusqu’à 1600 ovins. Certaines années de sécheresse, le bétail pâturait dans les bois.
Au XX° siècle, le nombre d’agriculteurs diminue. L’essor de la mécanisation, faucheuse lieuse, batteuse, puis le tracteur après la guerre de 1940-1945. L’agriculture étant tributaire du climat, on note qu’à certaine époque, les rendements allaient du simple au double.
La moisson était soumise au ban des moissons. On allait cueillir au bois, les liens pour les gerbes, et cela à jours et heures fixes. Les rendements étaient très faibles : 15 à 18 HL par hectare pour le blé. Deux agriculteurs ont reçu la médaille d’argent pour leur semence de graine de betteraves, la semence de blé de Louesme était très réputée aussi à l’époque.
Le bétail était gardé par les pâtres communaux. La commune achetait le taureau. Au début du XIX° siècle, on comptait jusqu’à 1600 ovins. Certaines années de sécheresse, le bétail pâturait dans les bois.
Au XX° siècle, le nombre d’agriculteurs diminue. L’essor de la mécanisation, faucheuse lieuse, batteuse, puis le tracteur après la guerre de 1940-1945. L’agriculture étant tributaire du climat, on note qu’à certaine époque, les rendements allaient du simple au double.
Délibérations du conseil
1869 : suite à une séance houleuse, les quatre conseillers restant ont délibéré et prié Monsieur le Préfet de bien vouloir donner aux susdites délibérations toute la suite qu’elles comportent et ce faisant, légalement il leur rendra justice en les engageant à continuer de faire pour le mieux ; suit 4 signatures.
1852 : arrêté relatif à la cessation des travaux publics le dimanche et jours fériés (sauf pour la moisson et la fenaison).
1852 : arrêté relatif à la cessation des travaux publics le dimanche et jours fériés (sauf pour la moisson et la fenaison).